28 janvier 2008
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16:58
Cela fait du bien de se payer le luxe, lorsque c'est possible, de prendre un petit temps pour se changer les idées dans des périodes
surchargées de mille et une petites choses qui encombrent souvent le (mon !) cerveau. C'est ce que j'ai fait mercredi dernier en allant me promener le long du Rhin, côté français. Contrairement à
l'été, la rive était presque déserte. Cela tombait bien.
La vue de l'Allemagne, "en face" comme on dit souvent ici, avec la ville de Breisach face à moi, m'a procuré comme toujours un effet d'apaisement...
Un îlot de
quiétude qui domine le fleuve tranquille...
La vue de l'Allemagne, "en face" comme on dit souvent ici, avec la ville de Breisach face à moi, m'a procuré comme toujours un effet d'apaisement...
Un îlot de
quiétude qui domine le fleuve tranquille...
Face à moi il y avait Breisach ; à ma droite, quelques rares personnes qui venaient nourrir les
cygnes, canards et mouettes avec leurs restes de vieux pain. Deux de ces personnes ont attiré mon regard.
Une jeune femme d'abord qui avait une curieuse manière de distribuer ses miettes aux mouettes tout en mouvements chorégraphiques. Jeunesse débordante de vie.
La danse des mouettes...
Une jeune femme d'abord qui avait une curieuse manière de distribuer ses miettes aux mouettes tout en mouvements chorégraphiques. Jeunesse débordante de vie.
La danse des mouettes...
Et puis une dame plus âgée est arrivée d'un pas lent, au même rythme que les cygnes.
Pas de chorégraphie ni de mouvement brusque à part celui de chercher la
nourriture dans ses sachets et de garder sa main ouverte dans laquelle l'un des cygnes venait becqueter délicatement.
La jeune femme est repartie en sautillant, la dame comme elle était venue. Quant à moi, j'ai poursuivi le restant de ma journée, heureuse et repue d'avoir glané tous ces instants "volés"...
Pas de chorégraphie ni de mouvement brusque à part celui de chercher la
nourriture dans ses sachets et de garder sa main ouverte dans laquelle l'un des cygnes venait becqueter délicatement.La jeune femme est repartie en sautillant, la dame comme elle était venue. Quant à moi, j'ai poursuivi le restant de ma journée, heureuse et repue d'avoir glané tous ces instants "volés"...
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